Aujourd’hui encore, partout dans le monde, la précarité énergétique met en danger des millions de vies.
Aujourd’hui encore, on souffre et on meurt de la chaleur dans son logement mal isolé. Aujourd’hui encore, on perd ses récoltes maraîchères faute de techniques agricoles et de conservation adaptées. Aujourd’hui encore, on ne peut développer une activité entrepreneuriale faute d’un accès fiable à l’électricité. Aujourd’hui encore, les femmes mettent leur santé en danger pour subvenir aux besoins des familles.
Aujourd’hui encore, des millions d’hommes et de femmes souffrent de la précarité énergétique renforcée par l’intensification des changements climatiques.
L’absence d’accès à une énergie propre, juste et durable creuse les inégalités en France, comme au Bénin, au Tadjikistan, au Cambodge, au Maroc et dans bien d’autres pays.
Ces inégalités ne devraient plus exister.
Depuis près de 50 ans, nous agissons sur le terrain pour que l’énergie devienne un droit, et non un privilège. À l’aube de 2026, aidez-nous à poursuivre nos engagements : construire, avec et pour les personnes les plus vulnérables, des solutions concrètes et durables pour un avenir juste et solidaire.
Cette fin d’année, encore, votre soutien est essentiel pour nous permettre d’aller plus loin : isoler les logements, accompagner la transition agricole, développer les énergies renouvelables, soutenir les artisans et artisanes du changement, agir en faveur de l’inclusion, et faire de la solidarité une énergie d’avenir.
Parce que l’énergie change des vies. Partout où nous agissons, nous faisons de l’énergie un levier de justice sociale et climatique, nous faisons de l’énergie un levier d’émancipation et de résilience.
Aujourd’hui encore, aidez-nous à #allerplusloin
AUJOURD’HUI ENCORE, POUR 2026,
AIDEZ-NOUS A #ALLERPLUSLOIN !
ENSEMBLE, FAISONS DE L’ENERGIE UN LEVIER DE JUSTICE SOCIALE ET CLIMATIQUE.
En soutenant notre ONG, vous permettez le financement de projets énergétiques et solidaires qui intègrent à la fois la lutte contre la pauvreté et la protection de l’environnement.
Depuis près de 50 ans, dans un esprit de Solidarité climatique, nous sommes engagé·es aux côtés de communautés qui ont besoin de solutions durables et justes. Nos actions sur le terrain visent à rendre l’énergie accessible là où elle peut faire la différence et à développer des projets qui garantissent à chacun des conditions de vie dignes, respectueuses de l’environnement.
Vous, donateurs, donatrices, êtes les moteurs de cette transition. Votre soutien permet de rendre possible ce que seule la volonté ne peut réaliser : des projets concrets, efficaces, et qui transforment durablement la vie de milliers de personnes. Comme nous, vous croyez qu’il est crucial d’agir, non seulement pour soi mais aussi pour les autres, et de bâtir une transition écologique et énergétique fondée sur la solidarité.
Aujourd’hui, nous vous invitons à participer à notre campagne. Faites un don à la hauteur de vos moyens ou partagez notre message autour de vous. Aidez-nous à diffuser cette idée qui nous tient à cœur : l’urgence climatique nous oblige à être solidaires, ici et partout dans le monde.
Un grand merci pour votre engagement et votre soutien.
Marie-Noëlle Reboulet,
Présidente
POUR TOUT LE MONDE, PARTOUT : PLUS D’ÉNERGIE, PLUS DE SOLIDARITÉ
Aujourd’hui encore, dans le monde, la précarité énergétique met en danger des millions de vies.
Aujourd’hui, l’accès à l’énergie reste profondément inégal : en Europe comme à travers le monde, des centaines de millions de personnes vivent sans accès à une énergie fiable et abordable. Cette injustice énergétique touche en priorité celles et ceux qui en ont le plus besoin : familles à faibles revenus, communautés rurales isolées, habitant-es des pays des Suds, populations marginalisées. Faute de moyens, ces personnes sont contraintes de recourir à des solutions polluantes, dangereuses et coûteuses, qui mettent en péril leur santé, leurs ressources et leur avenir.
L’énergie permet à tous et à toutes de vivre.
Elle est indispensable pour répondre aux besoins vitaux, pour assurer la santé et le bien-être des personnes. Elle soutient également le développement économique, renforce la résilience et garantit l’autonomie des personnes. Et pourtant, aujourd’hui encore, pour une grande partie de l’humanité, l’énergie est un luxe. Elle n’est pas accessible de façon fiable, continue ou abordable, et contraint des millions de personnes à vivre dans la précarité et l’exclusion.
C’est pourquoi le Geres agit depuis 1976, en France, en Asie centrale, en Afrique de l’Ouest, en Asie du Sud et en Méditerranée pour isoler les logements, accompagner la transition agricole, développer les énergies renouvelables, soutenir les artisan·es du changement et agir en faveur de l’inclusion.
Aujourd’hui encore, au Maroc, on étouffe dans des logements mal adaptés aux chaleurs écrasantes.
Au Maroc, les climats chauds, aggravés par les changements climatiques et une urbanisation rapide, exposent de plus en plus les habitant·es à des vagues de chaleur intenses. Les logements, souvent mal isolés et énergétiquement peu performants, accentuent cette vulnérabilité, et provoquent des problèmes de santé, une surconsommation d’énergie et une hausse des émissions de gaz à effet de serre.
Face à ce constat, le projet FRESH, porté par le Geres depuis 2024, vise à adapter les logements aux conditions climatiques locales grâce à des solutions simples, abordables et respectueuses de l’environnement. Le projet s’appuie sur la sensibilisation et la formation des habitant·es comme les professionnel·les du bâtiment pour promouvoir des pratiques durables et accessibles.
Développé dans les communes de Tata (région de Souss-Massa) et de Béni Mellal (région de Béni Mellal-Khénifra), FRESH propose une approche collaborative et innovante. À travers la mise en œuvre de projets pilotes, la montée en compétence des acteur·ices du secteur et la mobilisation des territoires, il encourage une nouvelle culture du bâti, améliore le confort thermique des habitant·es et renforce la résilience des villes face aux changements climatiques.
Aujourd’hui encore, en Mongolie, on survit dans des logements glacials sans isolation.
La Mongolie, vaste pays de steppes d’une taille de 3 fois la France, compte seulement 3,5 millions d’habitant·es, dont plus de la moitié vivent en zones urbaines, principalement à Oulan-Bator, la capitale, où les hivers longs et rigoureux peuvent atteindre -40 °C. Faute d’alternatives, beaucoup dépendent encore du charbon minéral pour se chauffer et cuisiner. Ces usages entraînent des conséquences dramatiques sur la pollution de l’air, tant à l’intérieur des logements qu’à l’extérieur, et des conséquences majeures sur la santé publique.
Réduire l’usage du charbon en améliorant l’efficacité énergétique et l’isolation des habitations apparaît donc comme une priorité nationale, pour la santé des personnes ainsi que pour la lutte contre les changements climatiques.
C’est dans ce contexte qu’intervient le projet Switch Off Air Pollution, soutenu par l’Union européenne et porté par le Geres depuis 2018, fort de vingt ans d’expérience dans les climats froids d’Asie centrale. Le programme propose des solutions abordables de rénovation et d’amélioration du chauffage et de la cuisson dans les quartiers semi-informels d’Oulan-Bator, afin d’accroître le confort et la santé des familles tout en réduisant les dépenses et la pollution atmosphérique.
Aujourd’hui encore, au Bénin, on inhale des fumées toxiques et nocives pour cuisiner.
Au Bénin, la moitié de la population vit en zone rurale où la pauvreté est deux fois plus élevée qu’en ville. La transformation agro-alimentaire, activité clé pour les revenus locaux, repose sur des cuissons au bois inefficaces et polluantes, exposant femmes et enfants à des fumées nocives et contribuant à la déforestation. Ces pratiques entraînent des conséquences sanitaires dramatiques et une pression croissante sur les forêts, dont la superficie a déjà diminué de 28 % entre 2001 et 2024 (Global Forest Watch), soulignant l’urgence de technologies de cuisson durables et accessibles pour ne pas dégrader la santé des personnes et préserver les ressources naturelles.
Depuis 2023, le projet A3E pour “Accès à l’énergie et à l’efficacité énergétique pour un développement bas carbone en zone rurale”, porté par le Geres, accompagne les groupements de transformation de manioc dans le centre du Bénin vers des pratiques plus durables grâce à des foyers de cuisson améliorés. En augmentant l’efficacité énergétique, ces solutions réduisent la fumée nocive pour les femmes et enfants et limitent la pression sur les forêts, tout en renforçant les compétences économiques et organisationnelles de ces groupements de femmes.
L’initiative vise à créer une filière durable et résiliente, soutenue par la finance carbone et un réseau de coopératives locales. Après avoir consolidé les premiers acquis, il est prévu d’étendre cette approche à d’autres communes au Bénin et au Togo, afin de diffuser largement ces solutions simples, efficaces et respectueuses de l’environnement.
Aujourd’hui encore, au Tadjikistan, on peine à se nourrir et vivre dignement.
Le Tadjikistan, pays enclavé d’Asie centrale d’environ 10 millions d’habitant·es, est majoritairement rural et montagneux. Sa population dépend largement de l’agriculture et se heurte à des conditions climatiques extrêmes, et une pression croissante liée aux changements climatiques. Ces bouleversements menacent l’accès à l’eau et restreignent la production agricole et production hydro-électrique, rendant urgente la recherche de solutions durables pour renforcer la résilience des communautés et préserver les ressources naturelles.
Présent depuis 2011 au Tadjikistan, le Geres développe de nombreux projets en faveur d’une transition vers des solutions énergétiques durables et non polluantes, afin d’améliorer le confort thermique et les conditions de vie des habitant·es tout en réduisant la pauvreté énergétique. Dans le secteur du logement, nos actions portent sur la rénovation et la construction de maisons à faible consommation d’énergie, l’isolation thermique et les techniques solaires passives, en s’appuyant sur les entreprises locales et l’accès au microfinancement.
Dans l’agriculture, nos projets développent des serres solaires passives et des caves bioclimatiques, permettant de prolonger la saison de culture et de mieux conserver les récoltes. Afin de rendre ces solutions accessibles et pérennes, nos équipes agissent aux côtés des communautés locales, mais aussi avec des universités, des autorités et des institutions de microfinance.
Vous pouvez #allerplusloin, engagez-vous à nos côtés
pour la Solidarité climatique
Trois labellisations valent mieux qu’une
En 2014, puis à nouveau en 2019 et 2023, nous avons obtenu le label IDEAS qui reconnaît la qualité de notre gouvernance, de notre gestion financière et du suivi de l’efficacité de notre action. Ce label est attribué par un comité indépendant et s’appuie sur une analyse approfondie et des contrôles externes effectués par des professionnels sur 120 indicateurs. Avec ce label renouvelé, les donateur·ices du Geres savent qu’ils et elles peuvent continuer de nous soutenir en toute confiance.
Décerné sur la base des exigences du “Guide IDEAS des Bonnes Pratiques”, ce référentiel engage notre organisation dans une dynamique d’amélioration continue pour optimiser son action et favoriser son développement. A noter que, par souci d’indépendance, les organismes accompagnés et labellisés ne peuvent pas adhérer à l’Institut IDEAS.
Pour en savoir plus : https://ideas.asso.fr/le-label/





